lunes, 18 de junio de 2012


YOUNISOS ANTI-ÉCRIVAIN A ÉCRIT CE DEVASTATEUR COMMENTAIRE:
Le ciel bleu est un appel au massacre, une insulte à la prudence, un démenti de la raison, fond bleu pour des rigoles de sang, énorme pet en réponse à ceux qui pensent à demain.

CECI EST MA RÉPONSE:
Pour Younisos Anti-Écrivain, l´artiste nécrophile, le poète extasié parmi des rêves de sang  et sordides déchaînements: Je suis d´accord: le ciel bleu est un appel au massacre, une invocation à la tuerie, à la mort belle parmi des bouillonnements de sang et des fleuves de sueur. Le ciel bleu fait patent le ridicule qui nous sommes avec nos énormes et insultants pets, avec nos désirs homicides et sanguinaires. La massacre doit commencer, il n´y pas de pitié pour les rats de la raison, pour ces chiens galeux de l´émotion, il faut tuer, détruire toutes les sales vermines qui infestent notre être et toute cette pourriture qui les nourrit. Des rigoles de sang, comme dit éloquentement, Younisos Anti-Écrivain, émaneront de nos coupures profondes, de nos esprits dechirés, de nos pensées mutilées pour le coûteau implacable de la raison-emotion...le logos, cette délicate unité du dionysiaque et de l'apollinien emergera de cet orgasme de mort, de cet acte purificateur de sang. Nous, assassins et victimes à la fois, deviendrons la vie même et dès ce moment le ciel bleu, dans son azurée presence ne sera pas bleu seulement, mais polycrhrome realité. Alors, le monde sera mon frère, c´est le moment de créer. 





































domingo, 3 de junio de 2012


LA VERITÉ SUR LES PURITAINS
Les puritains violent à chaque moment la vénérable naturalité de la vie. Ils aiment secrètement l´excès, le soulagement violent du désir, les tremblements invincibles du corps. Les puritains jettent de l´immondice, vomissent de l´obscénité sur celui qu´ils détestent publiquement, mais qui est une source de plaisir dans leur intimité. Ils transforment la pureté rutilent de la vie en une sale opacité. 







LE SURHOMME
Le surhomme tel qu'il est compris par Nietzsche ne suposse pas une détachement de la realité, c' est tout le contraire. Puisque ce sont precisement les valeurs antinaturelles celles qui empechent une connexion profonde avec le réel. Le surhomme est la reconnaissance absolu, inconditionnelle de que l' homme est aussi nature et de que la culture, conçue comme une forme de creation humaine, ne peut pas se detacher d' elle.





FUGACITÉ

Oh, vérité, fleur de mon anxiété. Maintenant, tu es vif arôme, mais demain tu auras la puanteur de mes passées angoisses.



PARADIS DE FEMME
Que ton corps sent comme fruit du paradis et tes baissers ont le goût d´une nuit d´amour.






À TRAVERS TOI, À TRAVERS MOI
Toi, le monde qui s´ouvre à travers moi, cette réalité si quotidien et si étrange en même temps, qui se soumet amoureuse, agressif, brutale et paisible avant moi. Moi, le petit homme qui reçoit ton infinitude, sable anxieux inondée pour l´houle de ta peau. À travers toi, à travers moi, l´unité de notre monde est possible. 







LE SONS DE L´AME
Écoute ton coeur, sens la musique authéntique qui provient de ton intimité. Écoute l´individu, mais jamais la foule. La raison est simple, mais puissante: l´individu est éloquent; la foule est bavarde.





LITTERATURE
La littérature est beauté et la beauté est sensibilité...verité intuitive, raison qui se délecte au langage. Sans la littérature la vie s´assombrit, devient froide et indolente. En mourant le sursaute, l´élan vital défaillit: maintenant la vie commence à mourir dans la perpétuelle tombée de la nuit de nos jours. 






SUR LES PSYCHIATRES
Les psychiatres ne voient que les déviations: ils voient seulement la rupture de l´âme, son déchirure. Mais celui qui est psychiatre et artiste à la fois, cette personne est capable de voir la santé dans la maladie, la solution dans le problème...cette personne connait la force curative de la faiblesse.







PLEINE DOULEUR


Tu dis que la souffrance ne sert à rien, que ces larmes de douleur et cette voix plaintive ne sont qu´un futile martyre, fane insensée, absurde résonnance qui nous devons rejeter. Mais je t´ai dis que ma douleur est aussi belle comme ma joie, que mon amertume a souvent la douceur de mon rire chantante et le mouvement gracile de ma gaieté. Tu dis que la souffrance ne sert à rien...comme tu te trompes! Dans cet être déchiré, dans ces sillons d´affliction...la tige voluptueuse de la vie commence à naitre, commence à s´ériger...Ne me dites pas que je m´afflige pour rien, maintenant que tu connais le sens plein de ma douleur.