domingo, 3 de junio de 2012


PLEINE DOULEUR


Tu dis que la souffrance ne sert à rien, que ces larmes de douleur et cette voix plaintive ne sont qu´un futile martyre, fane insensée, absurde résonnance qui nous devons rejeter. Mais je t´ai dis que ma douleur est aussi belle comme ma joie, que mon amertume a souvent la douceur de mon rire chantante et le mouvement gracile de ma gaieté. Tu dis que la souffrance ne sert à rien...comme tu te trompes! Dans cet être déchiré, dans ces sillons d´affliction...la tige voluptueuse de la vie commence à naitre, commence à s´ériger...Ne me dites pas que je m´afflige pour rien, maintenant que tu connais le sens plein de ma douleur.





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