lunes, 18 de junio de 2012


YOUNISOS ANTI-ÉCRIVAIN A ÉCRIT CE DEVASTATEUR COMMENTAIRE:
Le ciel bleu est un appel au massacre, une insulte à la prudence, un démenti de la raison, fond bleu pour des rigoles de sang, énorme pet en réponse à ceux qui pensent à demain.

CECI EST MA RÉPONSE:
Pour Younisos Anti-Écrivain, l´artiste nécrophile, le poète extasié parmi des rêves de sang  et sordides déchaînements: Je suis d´accord: le ciel bleu est un appel au massacre, une invocation à la tuerie, à la mort belle parmi des bouillonnements de sang et des fleuves de sueur. Le ciel bleu fait patent le ridicule qui nous sommes avec nos énormes et insultants pets, avec nos désirs homicides et sanguinaires. La massacre doit commencer, il n´y pas de pitié pour les rats de la raison, pour ces chiens galeux de l´émotion, il faut tuer, détruire toutes les sales vermines qui infestent notre être et toute cette pourriture qui les nourrit. Des rigoles de sang, comme dit éloquentement, Younisos Anti-Écrivain, émaneront de nos coupures profondes, de nos esprits dechirés, de nos pensées mutilées pour le coûteau implacable de la raison-emotion...le logos, cette délicate unité du dionysiaque et de l'apollinien emergera de cet orgasme de mort, de cet acte purificateur de sang. Nous, assassins et victimes à la fois, deviendrons la vie même et dès ce moment le ciel bleu, dans son azurée presence ne sera pas bleu seulement, mais polycrhrome realité. Alors, le monde sera mon frère, c´est le moment de créer. 





































1 comentario:

  1. Je chante ! la boue chante !
    Crevons, buvons rouge, osons la fange !
    Tremblote ouvre déchire-toi crèèève !
    Foutez vos cœurs dehors !
    Je vous montrerai les fentes de la beauté — de mon sang je rafraîchirai vos fêlures immondes —
    Qui ose encore parler d’amour et de mort ? — l’Apocalypse est déjà consumée — sur le Net se joue le deuil décalé de la Déflagration qui naguère eût mieux fait de nous réduire en poussière d’astres galeux —
    Je chante ! la boue chante !
    Dépecez-moi !
    Je veux vivre en direct mon déchiquetage intégral, et qu’on mêle mes viscères à des grosses fraises obscènes, et que sur les débris pulvérulents de mon maigre cadavre s’éploient des coïts insensés et de monstrueux festins, et que le ciel vert se fende et dégueule des créatures gélatineuses acéphales, et que le Web soit enfin percé à jour — Web sournois dieu diffus, scélérat.
    -
    (Extrait de CARNAGE SENSITIF de Younisos)
    http://www.edilivre.com/carnage-sensitif-20a52d237d.html

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